Hawker's Poor man's commentaire
Romains 16:8-16
Saluez Amplias mon bien-aimé dans le Seigneur. (9) Saluez Urbane, notre aide en Christ, et Stachys mon bien-aimé. (10) Saluez Apelle approuvée dans le Christ. Saluez ceux qui sont de la maison d'Aristobule. (11) Saluez Hérodion mon parent. Saluez ceux de la maison de Narcisse, qui sont dans le Seigneur. (12) Saluez Tryphène et Tryphosa, qui travaillent dans le Seigneur. Saluez la bien-aimée Persis, qui a beaucoup travaillé dans le Seigneur.
(13) Saluez Rufus choisi dans le Seigneur, sa mère et la mienne. (14) Saluez Asyncrite, Phlégon, Hermas, Patrobas, Hermès et les frères qui sont avec eux. (15) Saluez Philologue, et Julia, Nérée et sa sœur, et Olympas, et tous les saints qui sont avec eux. (16) Saluez-vous les uns les autres par un saint baiser. Les églises du Christ vous saluent.
J'arrête le lecteur à ce dernier verset du paragraphe, juste pour remarquer quelques mots, à propos d'un saint baiser. C'était la coutume dans ces pays de l'Est, pour les amis et les relations de se saluer avec diverses marques extérieures d'affection. Le Père Abba n'a jamais été utilisé par les esclaves de l'Ab, ou Chef de famille. Ce privilège n'appartenait qu'aux enfants. De la même manière, le baiser était un signe général d'amour et de respect, ou d'égalité.
Les frères du Christ, son Église, son peuple, avaient aussi leurs marques d'amour pour manifester leur affection et leur attachement les uns aux autres. Mais Paul, enseigné par le Saint-Esprit, ordonne à l'Église de manifester leur amour, non pas simplement par un baiser, mais un saint baiser. Peut-être en se souvenant du baiser traître de Judas. Et aussi pour le distinguer de tout ce qui sent le manque de chasteté. Les saints disciples du Saint Jésus doivent en tout être distingués des charnels et des impies. Et s'ils le font dans leurs salutations, utilisez le baiser d'affection fraternelle, il doit être saint, et avec un œil sur le saint enfant Jésus !