Étude biblique et commentaire gratuits de Proverbes 5:3-15 verset par verset
Car les lèvres de l'étrangère distillent le miel, Et son palais est plus doux que l'huile;
Mais à la fin elle est amère comme l'absinthe, Aiguë comme un glaive à deux tranchants.
Ses pieds descendent vers la mort, Ses pas atteignent le séjour des morts.
Afin de ne pas considérer le chemin de la vie, Elle est errante dans ses voies, elle ne sait où elle va.
Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, Et ne vous écartez pas des paroles de ma bouche.
Éloigne-toi du chemin qui conduit chez elle, Et ne t'approche pas de la porte de sa maison,
De peur que tu ne livres ta vigueur à d'autres, Et tes années à un homme cruel;
De peur que des étrangers ne se rassasient de ton bien, Et du produit de ton travail dans la maison d'autrui;
De peur que tu ne gémisses, près de ta fin, Quand ta chair et ton corps se consumeront,
Et que tu ne dises: Comment donc ai-je pu haïr la correction, Et comment mon coeur a-t-il dédaigné la réprimande?
Comment ai-je pu ne pas écouter la voix de mes maîtres, Ne pas prêter l'oreille à ceux qui m'instruisaient?
Peu s'en est fallu que je n'aie éprouvé tous les malheurs Au milieu du peuple et de l'assemblée.
Bois les eaux de ta citerne, Les eaux qui sortent de ton puits.