Commentaire de la Bible du sermon
2 Rois 6:17
Le jeune homme regardant à l'étranger et ne voyant que les collines, les champs et l'armée syrienne est l'image d'un homme sans foi. Mais le même jeune homme regardant à l'étranger et voyant non seulement les collines, les champs et les ennemis que tout le monde voyait, mais aussi l'hostie enflammée, symbole de la présence, de l'amour et de la puissance de Dieu, est une image d'un homme avec foi. Je souhaite vous faire regarder trois grandes perspectives : la nature, la providence, la Bible. Et pendant que vous les regardez, nous écrirons la prière : "Seigneur, ouvre mes yeux."
I. Nos yeux doivent être ouverts pour voir Dieu dans la nature Dieu, avec son amour, sa sagesse et sa puissance. Un homme regarde à l'étranger un morceau du monde de Dieu et n'y voit ni sa beauté ni son Créateur. Un second regarde la même scène et voit la beauté que le premier n'a pas vue, mais ne voit pas encore le Créateur. Mais un troisième regarde, et il est comme le serviteur d'Elisée : ses yeux sont ouverts, et il voit ce qu'aucun des autres n'a vu, il voit Dieu passer sa main sur tous et y déposer de la beauté par ses doigts.
II. Nous avons besoin d'avoir les yeux ouverts sur la providence, afin que dans tout ce que nous entreprenons et souffrons, nous puissions voir Dieu comme notre guide, et lui faire confiance, afin que, quelle que soit la fortune dans laquelle nous puissions être conduits, nous ne nous sentions jamais seuls. Cela nous donnera du courage et du réconfort comme rien d'autre ne peut en donner.
III. Nous devons avoir les yeux ouverts sur la Bible. C'est un moment à ne jamais oublier où la vérité qui a été connue et manipulée comme un morceau de bois sec pendant des années s'embrase soudainement en une flamme brillante; quand au-dessus des prairies de la Bible, où rien d'autre que de l'herbe ordinaire n'apparaissait auparavant, soudain se mettent en marche les chevaux et les chars de feu ; quand cette vérité, par exemple : « Mon âme est infiniment précieuse et immortelle », frémit en moi, et que tout le monde semble n'être rien à côté de mon âme.
J. Stalker, La nouvelle chanson, p. 75.
Références : 2 Rois 6:17 . AW Momerie, L'Origine du mal, p. 248 ; J. Thain Davidson, Entretiens avec de jeunes hommes, p. 119 ; HP Liddon, Penny Pulpit, n° 599, et Old Testament Outlines, p. 77 ; Spurgeon, Mes notes de sermon, 1884, p. 91 ; Mari, Sermons de l'Église, vol. ii., p. 74. 2 Rois 6:17 .
A. Edersheim, Elisée le prophète, p. 208. 2 Rois 6:18 . Bennett, jeudi Penny Pulpit, vol. vii., p. 85 ; JM Neale, Sermons in Sackville College, vol. III., p. 100. 2 Rois 6:24 et 2 Rois 6:32 vii.
2. A. Edersheim, Elisée le Prophète, pp. 219, 230. 2 Rois 6:24 et vii. Parker, vol. VIII., p. 169. 2 Rois 6:26 . Homiletic Magazine, vol. xv., p. 163. 2 Rois 6 Parker, Fontaine, 24 mai 1877.
2 Rois 7:2 . Spurgeon, Sermons, vol. xxi., n° 1238 ; JM Neale, Sermons in Sackville College, vol. III., p. 108. 2 Rois 7:3 . Spurgeon, Matin par Matin, p. 73. 2 Rois 7:3 . Ibid., Sermons, vol. xxxii., n° 1903. 2 Rois 7:3 . A. Edersheim, Elisée le prophète, p. 242.